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Cette partie du site est consacrée à celles de mes publications

qui portent sur les questions bibliques et théo-logiques

 

Elle comprend elle-même quatre parties :

 

Lire la Bible : dans quel esprit ?

Quelques réflexions de fond sur la lecture de la Bible : page Lire

 

Une longue recherche théo-logique

Des articles publiés au long des temps dans diverses revues : page théo

 

Des articles publiés seulement sur ce site

Une suite de réflexions diverses, exposées pêle-mêle : page suite et page katé

 

Des ouvrages à commander en librairie 

Leurs coordonnées sont indiquées ci-dessous

 

 

 

 

 

Des livres

 

 

On peut trouver chez L’Harmattan, éditeur à Paris,

dans la collection Sémantiques dirigée par Marc Arabyan,

deux livres que j’ai écrits sur des textes bibliques.

 

 

 

Jonas                                                                                           

ou l’oiseau du malheur

Variations bibliques sur un thème narratif

(L’Harmattan, 2004)

 

Le livre de Jonas, à la fois conte et poème, est parabole de la

danse de malheur et d’espoir de deux protagonistes : le mal

dont tout pouvoir est habité, et l’improbable juste jouant son

petit rôle dans le dessein énigmatique du Maître divin du

monde.

Les aventures de Jonas invitent à suivre le destin d’une

distribution depuis longtemps mise en place, avec ses Bêtes

impériales, ses Nations apeurées, ses prophètes de Justice et

leur Peuple… sans oublier ce dieu, Seigneur amical et

Créateur paradoxal.

Conçue comme un dossier préparatoire pour une œuvre

qu’on tirerait du récit biblique, la présente étude retrace

le portrait littéraire de Yona (la colombe) à partir de

figures antérieures telles que l’oiseau messager du Déluge,

l’oie du jeu divinatoire, le pigeon lévitique, la palombe

bien-aimée du Seigneur, la colombe du psalmiste…

 

N.B. : On peut lire ici la traduction du livre de Jonas : Jonas

 

 

 

Éden, huis-clos                                                                           

Une parabole du dieu critique

Lecture du récit biblique de Genèse 2,4b-4,1

(L’Harmattan, 2002)

 

 

Tel quel, le récit biblique du Jardin d’Éden ignore les

notions de chute et de péché originels. Il rend compte

d’une sagesse qui consiste pour les humains à se

reconnaître mortels et à se répartir le travail de vivre sur

la terre, serait-ce au prix de souffrances et de peines.

Cela se fait en premier lieu au moyen d’une "théo-logique",

qui crée la figure d’un dieu hors norme, au statut critique et

au destin tragique. Aussi la question connexe de l’origine

n’est-elle pas simple en ce récit : tout et tous, en effet, s’y

dédoublent et se trompent.

C’est ce qu’une analyse sémiotique assez technique

inspirée de l’ethnologie structurale met au jour en élaborant

le concept de « registres » et en repérant le jeu textuel

qui permet à ces derniers de constituer le récit.

 

 

 

Un troisième livre, consacré au thème de l’exil dans la Bible,

a paru en Suisse aux Éditions du Moulin, écrit en pensant à

toutes les personnes déplacées :

 

 

Exils 

dix-sept récits d’inspiration biblique

ou l’exégèse mise en récits

 

Nous vivons dans un monde où des populations

entières se déplacent, de gré ou de force.

Ceci dans tous les sens, selon les conditions

les plus variées.

Cela a toujours existé, ici ou là, mais aujourd’hui,

chez nous, il s’agit de repenser le sort de l’immigré.

La Bible peut y aider.

 

 

 

Un quatrième livre est le résultat d’une longue expérience

de la traduction de la Bible et de l’expression orale.

Il a paru aux Lambert-Lucas, à Limoges :

 

 

Quatre annonces de paix                                                                                  

une traduction des évangiles pour la lecture à haute voix

ceci dans une langue française propre à ces écritures anciennes

  

L’ambition était de créer une langue française de cet évangile.

Non le français habituellement présenté comme correct,

ou littéraire, ou supposé poétique ; non plus un décalque

qui singerait la phrase et le vocabulaire grecs antiques ;

mais une langue qui colle au parler spécifique de ce sujet-là,

en le faisant exister comme existent aujourd’hui en français

des parlers, fort divers, qui se font reconnaître pour être

chacun celui d’un milieu, d’une région, d’une profession,

voire d’une personne singulière. Le parler d’un sujet.

 

 

 

Un cinquième livre, paru aux Éditions Théolib en 2013,

tente de revisiter les lieux classiques de la théologie chrétienne

d’une façon très libre, voire décalée… ou encore déjantée :

 

 

 

Ce qui (m’)importe

ou mon caté pour les nuls

à destination des gens qui se demandent…

                                                          

Désir d’aventure. De découverte. Attente de révélations.

Curiosité majuscule. Fort besoin d’admirer

(j’en suis privé depuis l’enfance vu ce que le monde

et l’Histoire m’ont offert).

Non le désir devenu fausse réalité, désir d’un Dieu

qui n’existe pas, mais réalisation de ce qui est à désirer :

belle œuvre à partager avec ce Créateur.

 

 

 

Un sixième livre reprend les récits d’Exils et en augmente

le nombre, ceci dans une optique un peu différente.

Il a paru en 2015 aux Éditions Olivétan :

 

 

Retournements

trente récits d’inspiration biblique

ou l’exégèse mise en récits

 

Nous vivons dans un monde où des populations

entières se déplacent, de gré ou de force.

Ceci dans tous les sens, selon les conditions

les plus variées.

L’apport biblique en ce domaine, c’est que l’exil

appelle, voire produit, des retournements

inattendus.

 

 

Retour sur la Bible

un travail, un combat, un plaisir

ou que serait une lecture populaire des Écritures ?

                                       

On entend par lecture populaire une lecture qui,
évitant à la fois le criticisme et le fondamentalisme,

conviendrait au premier venu, au plus grand nombre.

Il s’agit alors de tenter de dénouer les quatre nœuds

qui bloquent la lecture.

 

 

Tous ces livres, sauf Exils, épuisé, peuvent être commandés en librairie. 

 

 

 

 

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