retour à la
page
traduire
Et de Jessous – messie – la genèse fut ainsi
sa mère – Mariam – était fiancée à Jossef
elle s’est trouvée prise au ventre –––
par un souffle saint
La tradition de Jésus de Nazareth a
connu
au cours des temps de nombreux
avatars
et beaucoup d’avanies.
D’heureux recommencements, aussi.
Les grands tournants ont toujours
suivi
un renouveau dans le regard et
l’écoute
portés aux Écritures bibliques.
Il me semble que nous sommes en un
temps
où un tel tournant pourrait
intervenir.
Quels changements seraient alors à
inventer
aujourd’hui ?
Je propose d’abord une rapide
réflexion
sur la question à la page traduction
(voir aussi, à la page suite, La chair du verbe)
On peut aussi se référer à mon
article
intitulé Que
dites-vous des Juifs ?, paru
d’abord dans la revue Foi & Vie. Il
évoque les questions théoriques que
l’œuvre
de Henri Meschonnic pose aux traducteurs
chrétiens de la Bible.
C’est dans l’aire de ces questions
que
j’ai tenté une retraduction des
évangiles
selon Matthieu, Marc, Luc et Jean.
Révisée, on peut la trouver
désormais rassemblée en un seul volume :
Quatre
annonces de paix
Une traduction des
évangiles pour la lecture à haute voix
Publié par les Éditions
Lambert-Lucas, 4 rue d’Isly, 87000 Limoges
On peut voir la présentation qu’en
fait l’éditeur en allant sur Quatre
On peut écouter comment je lis ce
genre de texte en allant sur Écoute
Mais on peut lire les
premières versions sur les pages suivantes :
L’Annonce
de paix selon Matthéos
Une retraduction de l’évangile selon
Matthieu, à partir du grec.
à † Amétéfé
Seth Noményo
Bien que ce travail concerne un
évangile, il n’intéresse pas
les théologiens, même si on peut le
regretter, parce qu’il s’agit de
concevoir le texte comme poème.
Il est alors, tout simplement,
l’inscription d’une parole continue,
qui va vers son achèvement selon ce
qui fait en premier lieu le parler,
à savoir le rythme : une
succession d’ensembles plus ou moins longs
reliés entre eux par des silences
eux aussi de longueur variable.
Je me suis donc largement inspiré du
rythme tel qu’il est inscrit
depuis des siècles dans la Bible
hébraïque, l’Ancien, ou Premier,
Testament, en marquant les silences
et leur longueur variable par
des tirets plus ou moins longs.
Il s’agissait aussi de traduire en
fonction du grec le plus ordinaire,
tel que l’évangile le travaille, et
de traduire de même dans le français
le plus ordinaire, un français parlé
qui est loin de s’identifier
à ce français dit courant par
certains milieux bibliciste mais que,
bizarrement, personne ne parle.
On trouvera le texte in extenso sur
ce site : Matthieu
L’Annonce
de paix selon Marcos
Une retraduction de l’évangile selon
Marc
à partir du grec, selon les mêmes
principes.
On trouvera le texte in extenso sur
ce site : Marc
L’Annonce
de paix selon Loucas
Une retraduction de l’évangile selon
Luc
à partir du grec, selon les mêmes
principes.
On
trouvera le texte in extenso sur ce site : Luc
L’Annonce
de paix selon Jôánnès
Une retraduction de l’évangile selon
Jean
à partir du grec, selon les mêmes
principes.
On
trouvera le texte in extenso sur ce site : Jean
On peut lire aussi une traduction de
ce livre biblique de qui fait partie du
Livre des Douze de la Bible hébraïque.
Elle est parue dans Jonas ou
l’oiseau du malheur (Paris, L’Harmattan, 2003) :
« Le livre
s’ouvre par une traduction admirable à la langue riche
où l’auteur transmet son
écoute profonde et fine de l’hébreu. »
Dany Nocquet, revue Foi
& Vie.
Le numéro 79-80 (novembre 1978) de
la revue Dialogue du Mouvement
Chrétien pour la Paix (aujourd’hui
disparu ainsi que sa revue), comprenait des
textes sur la lecture et la
traduction de la Bible ainsi qu’une traduction du
livre du prophète Amos (une partie
du Livre des Douze), par moi-même ; il comprenait
aussi le même Amos dans une des
célèbres transcriptions actualisantes de Roger
Parmentier. Cette dernière a été
rééditée par la suite. L’ensemble avait pour titre :
Lire et écrire la Bible : Amos. On peut lire ici les textes qui me
sont dus.
On peut lire encore une
traduction inédite de ce livre,
l’un des Cinq
Rouleaux de la Bible hébraïque.
De même, on peut
rejoindre la traduction de quelques-uns d’entre eux :
Psaume 22, Psaume 23, Psaume
100.
Retour au haut de page