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Pensées de Jouan l’Iscandre 

 

 

 

Je me suis amusé à recenser les diverses pensées que j’ai publiées

sur la page d’accueil de ce site depuis 2006, année de sa création,

sous le pseudonyme de Jouan l’Iscandre : 

 

 

   

 

 

Il y a eu un jour, un samedi, dans l’histoire du monde

où l’humain était mort.

 

 

Imaginez une existence

avec une porte ouverte

à l’intérieur...

 

 

Que les grands tiennent la pose,

cela ne gêne pas, et pourquoi pas ?

Mais l’ennui, c’est qu’ils tiennent la prose.

 

 

La pauvreté oblige à viser partout et toujours à l’essentiel,

or ce monde crève de l’accessoire, du luxueux dans l’accessoire.

Aujourd’hui, plus que jamais, la puissance réelle

est du côté de l’invention simpliste.

 

 

Plus vous tenterez de vivre sous le règne de Dieu,

plus vous vous trouverez opposé à la religion.

 

 

Ce n’est qu’en changeant ses croyances

qu’on peut changer de monde…

 

 

Si vous croyez avoir compris

quelque chose à Dieu,

c’est qu’on vous a mal expliqué.

 

 

On ne vainc que ce que l’on porte en soi.

 

 

Celui qui dit que Dieu n’existe pas,

il crée un dieu, celui qui n’existe pas.

 

 

La raison est le langage ultime du pouvoir,

celui qui l’assume devrait savoir et dire au moins quelle est sa visée.

 

 

La religion, vous dis-je ! La meilleure et la pire des choses :

le trésor dont ne cessent de s’emparer les violents.

 

 

À force de se vouloir dur, il devenait cassable.

 

 

Il faut savoir que l’humanité est étonnamment distraite.

 

 

une société

dont le langage

perd sa souplesse

est tout près de mourir

 

 

La laïcité n’est pas l’imposition à tous des normes de la société marchande.

 

 

Il s’agit d’inventer aujourd’hui un nouveau jeu politique

dont les règles rappelleraient celles de la « passe à dix » :

tout le monde joue… et le ballon ne doit jamais tomber.

 

 

Pendant l’orage, faire face à l’orage, ne pas dire demain il fera beau.

 

 

 C’est quoi, la poésie ?

 C’est quand on prend la vie au sérieux.   

 

 

Un Christ bien à soi est un Christ mort.

 

 

Ce qu’on nomme utopie n’est autre que le rêve

où tu sais, en rêvant, que l’avenir se lève.

 

 

Sans colère, on ne peut combattre l’entropie d’un système social,

c’est-à-dire son degré de désordre.

 

 

Quand on parle de Dieu,

on ne peut dire que des bêtises.

 

 

La mort n’est pas après, elle est avant.

 

 

Ce monde-ci ne sera sauvé que dans l’abandon

du règne, de la puissance et de la gloire.

 

 

Ni lieux saints ni ville sainte, mais toute la terre !

 

 

Ce que tu n’as pas, que tu ne peux avoir, tu l’inventes.

 

 

À force de semer du dire,

tu vas bien finir par récolter du faire…

 

 

Changez de regard et dites-vous

que ceux qui sont considérés aujourd’hui

comme la base de la société

en sont en réalité le cœur.

 

 

Avec ceux qui savent,

les problèmes commencent

quand en plus ils croient savoir.

 

 

Que prenne chair enfin cette vérité selon laquelle le vrai monde est juste.

Le nôtre, aujourd’hui, c’est le faux.

 

 

Dans la nuit la plus profonde,

une seule loupiote illumine le monde,

quand un phare vous aveugle.

 

 

Dieu est le nom de la voix qui t’appelle à sortir de toi

pour aller plus loin, plus profond, plus haut.

 

 

La foi, c’est différent de la religion.

C’est quand on ne se demande plus si l'on sera sauvé.

On l’est déjà, on n’a rien à négocier avec aucun ciel.

 

 

Les Écritures sont parole. Elles ne sont pas ce qui est écrit, mais ce que tu lis.

 

 

Si nous ne reconnaissons pas le Christ vivant aujourd’hui,

c’est que nous cherchons celui qui est mort.

 

 

En appeler à Dieu, c'est souvent oublier que c'est lui qui nous appelle.

 

 

Dieu n’est pas un ailleurs pour te sauver d’ici,

mais pour tout changer ici.

 

 

La connaissance est ce que vous saisissez, la foi, ce qui vous saisit.

 

 

Un seul imbécile qui vote

aura toujours plus d’influence sur la vie de dix abstentionnistes

que dix abstentionnistes sur la vie d’un seul imbécile.

 

 

Faut-il des frontières ? Elles existent, on ne peut le nier,

mais on n’est pas obligé de croire en elles.

 

 

Ce qu’il faut de malheur collectif pour que tant de gens

croient un Poutine, un Trump ou un Zemmour !

 

 

Sous la chanson de tristesse sourd un commencement,

qui l’osera ?

 

 

Aux croyants, Dieu ne dit pas Défends-moi et tu vivras,

mais Cherche-moi et tu vivras. Il est devant, pas derrière.

 

 

Le croyant risque moins la Croix en s’attaquant aux amoureux

et à leurs mœurs plutôt qu’aux riches et aux puissants.

 

 

Tu crois et c’est fou.

 

 

Ce dimanche-là, Jésus n’est pas revenu, il est devenu.

Cela ressemble à un jeu de mots mais c’est une affirmation de foi.

 

 

Dieu n’est pas la pointe de la pyramide.

Il est la base d’où partir.

 

 

La religion, c’est quand tu te consoles de ta vie.

La foi, c’est quand tu t’attaques à ce qui la pourrit.

 

Avis à quelques violents de l'actualité :

à force de se vouloir dur, on devient cassable.

 

 

 

 

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